Nom : James
Prénom : Hopeless «Ruby»
Âge: 19 ans.
Occupation : Étudiante en musique & barmaid dans un bar de la ville. ( étude ou métier )
Descriptions physique :
Je suis plutôt grande, et extrêmement mince. Quoi que, avec les années j'ai pris du poids pour atteindre mon poid santé... Parce que étant plus jeune j'ai souffers d'anorexie, peut être était-ce une façon pour moi d'attirer l'attention de la famille je sais pas... Mais j'ai compris la gravitée de mon geste, quand je fus hospitalisée, à partir de cette journée là, je me promis de faire attention à ma santée, je repris donc mon poid santée tout en continuant de me maintenir en forme. Sinon outre que mon physique de rêve, j'ai une longue chevelure, épaisse et légèrement vagué, tel un caniche
Mes yeux sont de couleurs marrons plutôt foncés, pendant longtemps mon beau-père comparait mes yeux à ceux d'un raton-laveur tout mignon x). Ma peau est plutôt clair, sans l'être trop, j'ai un charmant sourire avec des dents blanche *sourire crest héhé
* J'aime m'habiller différent des autres, le noir est une couleur prénominante de ma garde-robe, je sais pas, je trouves que le noir me va bien, et me donne un petit côté sexy & rebelle
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Description psychologique :
Je suis une personne sociable, parfois je parles trop ce qui me crée diverses problèmes. Mais je suis comme ça. Franche et têtue, je ne parles pas avec des gants blancs de toute façon à quoi ça sert, pour se faire comprendre dans le monde où je viens, on doit hurler. Têtue, quand j'ai une idée, je l'a tiens et fait tout pour l'accomplir. Authentique, je demeures moi-même malgré mon statut, je ne changes pas pour autant de toute façon le monde chance constament à quoi sa sert de changer également? Bagarreuse x) Une fois, il y a eu une bagarre mais on s'en prenait à mon frère, alors j'ai sautée dans le tas. Je suis très protectrice voir parfois trop. Humour sarcastique? Simplement, quand je suis sur la défensive. Sinon j'ai parfois des propos ironiques. Fofolle, j'adore m'amuser, et délirer dire des blagues bidons juste pour le plaisir de voir sourire les gens. Romantique, oui mais personnes ne connaient se côter de moi. Loyale, toujours auprès des gens qui me sont chers. "Libertine" Voilà un mot tout droit sortie de mon vocabulaire spécial Hopeless. J'aime la libertée, et j'ai peur de certains engagements. Je préfère vivre au jour le jour, c'est moins douloureux.
( minimum de 5 lignes )
Sa famille :
Ma mère, une femme autoritaire, et hautaine. Faut dire qu'elle a changée en vieillissant parce que ma grand-mère maternelle me racontait qu'elle était beaucoup plus ouverte et funny à l'époque de son adolescence. Une femme, qui fût longtemps amoureuse mais à cause de la haute sociétée elle dut reprendre les rangs et devenir une femme modèle. Mon père, biologique un musicien, que ma mère a rencontrée lors d'un concert dans un petit pub. Ils ont sortis longtemps ensembles caché, des autres. Et après quelques temps je fus conçu. Après ma naissance, mon père disparu. Bon faut dire que les parents à ma mère avait mis énormément de pression pour que ça se produise, puis ma mère rencontra un homme, je devais avoir 2 ans. Ils se marièrent, et cet homme devint mon beau-père... Il me prit comme sa fille, et faut dire qu'aujourd'hui je lui suis reconnaissante, c'est lui qui m'a poussé à partir de la Californie pour que je viennes m'établir à Tree Hill.( minimum de 5 lignes )
Son passé :
: 12 Décembre 1985
Cher journal, je n’ai pas l'habitude de délivrer mes émotions par papiers, j'y vois pas l'utilité, jusqu'à ce que je tombe sur toi. Un vieux journal à l'abandon, l'envie d'écrire m'envahit depuis que j'ai commencée à déposer mes premiers mots sur toi... J'ai besoin de me confier plus que jamais, je me suis jamais sentit aussi seule, de toute ma vie. Je sais plus quoi faire... J'ai l'impression d'être constamment un pied dans le vide! J'ai l'impression d'étouffer... Ma mère est constamment sur mon dos, et mon père n'en parlons pas. Heureusement, que je l'ai lui. Il m'apaise et je me sens à la hauteur quand il est auprès de moi. Pourtant ce n’est pas si simple, une femme de bourgeoise ne peut pas sortir avec un simple musicien c'est mal vue. Et croyez-moi ma mère, vieille à ce que cela ne se produise pas. J'ai l'impression d'être Juliette, j'espère connaître un meilleur sort qu'elle. Je promets une chose cher journal, si jamais j'ai une fille, elle ne Vivera jamais ce que j'ai vécut.
12 Décembre, 2010.
Cher journal, 25 ans se font écoulés, depuis la dernière page écrite. Aujourd'hui je prends la relève, ma mère m'a offert son journal. En disant que c'était à moi de le continuer, bizarrement certaines page du journal sont déchirés, comme si elle ne voulait pas que je connaisse son passé. Ma mère m'apparait comme une étrangère par moment, nous nous ne ressemblons tellement pas. Ma grand mère m'a dit que je ressemblais totalement à mon père, du moins mon père biologique. J'ai été élevée par ma mère et son mari. Un homme d'affaire dans la haute société, qui m'a prit sous son aile dès mon bas-âge. Honnêtement je le déteste! Mais bon, on ne peut pas aimer tout l'monde pas vrai? Bref, j'ai grandis en Californie le 28 Janvier 1991. Ma mère m'a donné la vie dans un petit hôpital en compagnie de mon oncle, son frère. Un homme que j’adore plus que tout... Il était pour moi un père, et ne se gênait pas pour me raconter les vrais choses, jusqu'à ce que monsieur richesse arrive, (le mari actuel de ma mère.) J'ai jamais comprit pourquoi ma mère, m'avait jamais parlé de mon vrai père, au fil des années grâce à mon oncle et mes grands-parents, du moins mon grand-père, je compris tout. Je n'étais pas la seule, le nouveau mari de ma mère, avait également un fils, que je considérai aussitôt comme mon grand-frère. Je vous explique, ma mère une jeune femme bourgeoise, sortait souvent le soir dans les cabarets avec des copines. Jusqu'un soir, où lui, et son groupe chantaient sur scène, elle fût subjuguée par sa voix, quant à lui, il n'avait d’yeux que pour elle. Après tout qui ne connaissait pas Noah Curtis? Personnes, c'était une femme très convoité par les hommes, et détestés par les femmes sans aucun doute. Bref, après cette soirée, elle lui offrit d'aller prendre un verre, et de fil en aiguille, ils se rapprochèrent, et vécurent un amour passionnel. Évidemment, sa mère (ma grand-mère) n'approuvait pas du tout, que sa fille sorte avec un médiocre musicien (d'après elle) Plusieurs disputes étaient présentes à cause de cette situation. Mon grand père, lui demeurait là à regarder les scènes, c'était un homme qui adorait sa fille plus que quiconque, mais il n'a jamais réussit à faire taire la colère constante de sa femme... Ma mère continua de le fréquenter en cachette. Puis après des mois, elle tomba enceinte, et des semaines ne s’écoulèrent puis plus aucune trace de son musicien, son amant, son amour et le père de son enfant. Elle en voulut extrêmement, mais bien des années plus tard, elle comprit que c'était un coup monté de ma grand-mère. Ma mère continua sa vie tout en m'élevant, faisant comme si l'époque où elle avait rencontrée mon père n'avait jamais existé. Elle disait à tout le monde que j'étais le fils de Zachary, pourtant nous avions aucunes ressemblances physiques, mais ça personnes n'y portait réellement attention. J'ai donc grandis dans un milieu où la richesse était la principale occupation, et contrairement à ce que les gens pensent, je ne suis pas devenue hautaine pour autant, j'ai fréquentée les endroits scolarisés les plus réputés, jusqu'à ce que j'ai l'âge de 15 ans, et que je décide moi-même de l'endroit où je voulais étudier... J'optai donc pour le lycée de ma ville, celui où les lycéens et lycéennes, ne portent pas d'uniforme, où les fêtes sont autorisées chaque week-end sur le campus x). J'étais une élève studieuse, et toujours partante pour de nouveau projets, sans être toutefois première, de classe. Les mois passaient, laissant place aux différents décors des saisons, puis après une dure année de travaille arrivait enfin les vacances! <3 La joie, plus aucune restriction ou presque, du temps que l'on prend pour soi, où entres copains. Moi, je passais le clair de mon temps, avec mes copines à faire les boutiques ou sinon, je partais seule me dirigeant à la plage et je m'installai contre un rocher puis j'écrivais. Sinon il m'arrivait de sortir en boîte, mais je devais faire attention, pour ne pas rater mes entraînements de danses. La danse? Une longue histoire d'amour entre elle et moi. D'aussi loin, que je me souvienne ma mère m'inscrivit à des cours, disant que je devais faire comme toutes petites filles bourgeoises. Moi je préférais, évidemment jouer avec mon frère au basket-ball par exemple, malgré mon jeune âge j'étais un "garçon manqué". Bref, au fil des années, mon groupe social s'était formé et je les gardais précieusement. J'avais réussit à aimer la danse, et je n'arrivais plus à m'arrêter. Nôtre vie tranquille nous plaisaient bien. Mon frère, faisait parfois des siennes, causant des problèmes à mon beau-père ainsi qu'à ma mère, mon frère était un bohème qui aimait fumer et danser être en compagnie de jolies demoiselles.
Mon frère devenait le mouton noir de la famille. Et j’avais l’impression que cela lui plaisait, il changeait envoyant balader le monde entier. Mais demeurait le même quand il était avec moi, j’étais comme sa bouée de sauvetage où il venait s’agripper dans les moments de fortes tempêtes. Je ne comprenais pas son comportement si changeant, tout le monde tentait de lui tirer les vers du nez. Même moi, mais je faisais ça dans la plus grande discrétion possible. Un soir, lorsque tout le monde était endormis, je me faufilai dans sa chambre prenant place dans son lit il ne dormait pas, les yeux rivés sur le plafond, il me prit automatiquement dans ces bras et je m’étendis la tête sur ces genoux, fermant les yeux. Je sentais sa main me caresser les cheveux et bizarrement, c’est lui qui brisa le silence.
« J’étouffes ici… J’ai besoin d’air, ils m’étouffent…»
« Tu vas partir quand?»
«Demain matin, à l’aurore.»
« Je viens avec toi!»
« Non… Toi tu dois rester ici. Tu auras amplement le temps, le moment opportun de partir.»
« Tu vas m’écrire? Promets-moi.»
Comme convenue, mon frère, disparut à la petite heure du matin. Une lettre m’attendait sagement sur la table de chevet de ma chambre. Je m’empressai de la lire…
«Hopeless,
Quand tu liras cette lettre, je serai sûrement parti. Je sais que tu dois m’en vouloir de t’abandonner ici, mais je n’avais plus le choix… J’étouffai ici, quelque chose de mieux m’attends ailleurs. Toi aussi, quelque chose de bien t’attend quelque part, tu dois juste le trouver. En entendant de te revoir, je t’écrirai le plus souvent possible, pour te décrire les paysages qui m’entourent, quant à toi, continue de danser comme tu le fais si bien. On se revoit bientôt
Je t’aime petit sœur
Ps : N’avertis pas les parents, je leur expliquerai le moment venu.»
Le temps c'est écoulé, je continuais ma vie de jeune femme. J'étais la prunelle que l'on garde en cage, le modèle idéal pour tous les jeunes hommes, ma mère guettait le moment attendu pour me présenter, un jeune homme, vivant dans la "haute sociétée" c'était la coutume. Pourtant, au fond de moi une envie de liberté dormait attendant le jour opportun pour se réveiller. C'est finalement, cette soirée là que tout devint plus clair, au grand malheur de ma mère. Nous étions assis à l'immense table de la salle à manger, avec des gens important, de grandes connaissances de mon beau-père, ceux ci me demandait sans cesse où je voyais ma vie. Et pour être honnête, j'en avais aucune idée... Ma mère se donnait un plaisir fou à dire haut et fort la vie qu'elle m'a tracée, prétextant que c'était mes choix. Je me sentais bouillir intérieurement, jusqu'à ce que tout explose!
« Ça! C'est ce que tu souhaites... Me voir marier dans la prochaine année, d'un riche héritié! Femme au foyer, et présente pour élever mes enfants. Eh merde! Quand vas-tu te réveiller maman! Nous ne sommes plus, dans les années 60. T'a jamais su, réellement ce que moi et mon frère souhaitions. Et c'est pour ça qu'il est parti... J'aurais du plier bagages, il y a longtemps... Je suis plus la petite fille, avec qui tu me dictais quoi faire & penser. J'en ai marre! de tout ce cirque. J'en n'ai marre de tout ce côté superficielle, c'est tellement pas moi. Excusez-moi...» Je sortis donc de table, et monta à l'étage pour faire ma valise. J'entendais ma mère, me crier de revenir à la salle à manger et faire mes excuses aux invités. Mais je ne l'écoutais pas, continuant de faire mes valises, je m'assurai d'avoir pris le nécessaire, et je dévalai les escaliers, sous le regard outré des invités. Pour la première fois, je voyais ma mère impuissante. J'eus un pincement au coeur, mais ne me retourna pas, puis prit la première voiture direction la garre. Pendant, que j'attendais mon train, un homme se présenta à moi. C'était mon beau père,aussitôt j'ajoutai que je ne retournerais pas à la villa. Il me prit la main, et me fit glisser des liasses de billets, puis resserra ma main. En disant ceci, une phrase que je n'ai toujours pas oublier.
« Bon voyage Hope... Va trouver ta destinée.»Par la suite, j'embarquai dans le train, le coeur gonflé. Mon beau-père avait disparu, puis quand l'homme qui passa pour chercher mon billet. Je lui demandai de me donner un billet allé, pour New-York. Mes yeux rivés à la fenêtre, je soupirai d'aise. Après plusieurs heures, j'arrivai finalement dans l'endroit surnommée la grosse pomme (: Je ne savais pas où j'allais habité, encore moins ce que j'allais faire ou encore y trouver. Mais cette fois, c'était moi, qui allait en décider. Donc depuis quelques jours, je me suis inscrite au lycée. J'habites dans une chambre à l'hôtel, le temps de me trouver un appartement abordable. J'aimerais bien, me faire découvrir par ma passion, la musique. Je peux vraiment pas dire autre chose, seulement l'avenir me le dira.
( minimum 10 lignes )
Dans quel groupe tu désirs être placé(e) : Rocker'Z
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Un peu plus sur toi
Prénom : C.o.n.f.i.d.e.l.l.e (:
Age : 18 ans.
Pays : Canada City
Comment as-tu connu le forum? : Par l'admin, via un autre forum. Si je dis que sur l'autre forum, on me surnomme "Didi
" me reconnaîtra elle?
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